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Les 9, 11, 13/10 – Octobre Rose – Parlons du cancer du sein

LE CANCER DU SEIN est une tumeur maligne qui touche la glande mammaire. Les cellules malignes se multiplient de manière désordonnée jusqu’à créer une tumeur qui s’attaque aux tissus sains avoisinants. Cette tumeur peut propager des cellules cancéreuses dans tout l’organisme : on dit alors qu’elle  » métastase ».

9,11, 13 octobre – Rendez-vous dans le hall de la clinique pour en discuter avec nos praticienset 13 octobre 2017, nos infirmiers et aides soignants se tiendront disponibles pour discuter, répondre aux questions et apporter des compléments d’informations via de la documentation.

Vendredi 13 octobre de 9h à 12h, le Dr Haccourt, gynécologue de la clinique, se tient disponible sur le stand pour vous renseigner.

« Le nombre de cancers du sein est en forte augmentation.
En 1975 on recensait 19 000 cas ; en 2012, plus de 48 000 ; en 2016, plus de 54 000 ! La lutte est plus que jamais d’actualité. Lutter c’est d’abord chercher à toujours mieux comprendre la biologie de ces tumeurs. Aujourd’hui, on ne se bat pas contre un cancer du sein mais contre plusieurs formes de cancer et l’un des enjeux de la recherche est de cerner les spécificités de chacune de ces maladies.

Le nombre de cancers augmente mais la survie aussi.
Aujourd’hui, son taux est de 92% à 5 ans. En la matière, la prévention et le dépistage précoce restent essentiels.
Le dépistage est un formidable moyen pour prendre la maladie très tôt et avoir le dessus sur elle.
Le cancer du sein touche essentiellement des femmes mais c’est toute la société qui doit être interpellée par ce fléau car les femmes touchées sont des filles, des mères, des épouses, des citoyennes…

Faire reculer l’épidémie est possible.
C’est ensemble qu’on y arrivera ! »
Anne Vincent-Salomon
Médecin pathologiste MD, PhD Service de Pathologie et U934 INSERM Institut Curie, Paris

Quels sont les symptômes du cancer du sein?

Plus un cancer du sein est détecté tôt, plus les chances de guérison totale sont grandes.

Il est donc important de surveiller attentivement les modifications de votre poitrine et de procéder à des examens réguliers de dépistage.

Ainsi, toute grosseur nouvelle au sein ou à l’aisselletoute modification de la forme ou de la taille de votre seintout écoulement par le mamelon, ou encore tout changement notoire de l’aspect de la peau du sein ou de l’aréole – crevasses, pigmentations, etc – doivent être signalées à votre médecin car elles constituent les symptômes visuels les plus répandus et qui doivent alerter.

Le cancer du sein se présente le plus souvent sous la forme d’une petite boule qui peut être palpée parfois par la patiente elle-même. Cette petite boule peut également être visible sur une mammographie.

Heureusement, dans la plupart des cas il ne s’agira pas d’un cancer mais d’une tumeur bénigne comme par exemple un petit fibrome.

Que faire en cas de suspicion?

Le seul moyen pour faire la différence entre un cancer et quelque chose de bénin est de faire un prélèvement qui va permettre une analyse au microscope.

Ce prélèvement peut se faire de plusieurs façons :

Bytoponction

Avec une petite aiguille, c’est ce qu’on appelle une cytoponction, c’est un geste simple, peu douloureux qui doit être réalisé par des médecins qui en ont l’habitude, dans ce cas c’est un geste fiable qui permet souvent de faire un diagnostic. La cytoponction est réalisée sans qu’aucune hospitalisation ne soit nécessaire.

Biopsie

C’est à dire un prélèvement d’un petit fragment de la tumeur qui a été trouvé. Il existe plusieurs moyens de faire cette biopsie. La plupart du temps une hospitalisation n’est pas nécessaire, sauf si cette biopsie doit être réalisée avec une anesthésie générale.
Le choix de la méthode de prélèvement dépend de chaque cas, en fonction de la taille de l’anomalie, de sa localisation, du diagnostic suspecté par la palpation et la mammographie.

N’hésitez pas à demander des explications à votre médecin.

Prévention et facteurs de risques du cancer du sein

 

Le facteur âge

Les deux tiers des cancers du sein se développent chez des femmes de plus de 50 ans. En revanche, cette maladie est plus rare chez les femmes de moins de 35 ans et reste exceptionnelle chez celles qui ont moins de 20 ans.

Après 40 ans, les statistiques nous apprennent que le risque d’avoir un cancer du sein se multiplie une fois et demie tous les dix ans.

Après 50 ans, outre l’examen – au moins annuel – de vos seins par votre médecin traitant ou votre gynécologue et l’auto-palpation mensuelle de vos seins, votre médecin vous prescrira une mammographie tous les deux ans pour dépister de manière très précoce un éventuel cancer.
N’hésitez pas à en parler à votre médecin ou à votre gynécologue qui saura vous conseiller sur la question.

Un gène responsable du cancer du sein

Une femme dont la mère ou la sœur a déjà eu un cancer du sein risque deux fois plus que les autres femmes de développer un cancer du sein. Si tel est votre cas, vous devez, encore plus que les autres, vous faire surveiller médicalement au moins une fois par an et signaler vos antécédents familiaux à votre médecin traitant ou à votre gynécologue.

15% des femmes traitées pour un cancer du sein développeront un cancer sur l’autre sein. Si vous êtes dans cette situation, vous devez absolument bénéficier d’un suivi médical particulièrement attentif.

On a également constaté que le risque était plus élevé chez les femmes ayant eu à la fois des règles précoces et une ménopause tardive. Les femmes sans enfant ou ayant eu un premier enfant après 30 ans semblent de même un peu plus exposées au développement d’un cancer du sein. Ce sont des éléments que vous devez aussi prendre en considération.
N’oubliez pas d’en parler à votre médecin.

Les antécédents familiaux

Une femme dont la mère ou la sœur a déjà eu un cancer du sein risque deux fois plus que les autres femmes de développer un cancer du sein. Si tel est votre cas, vous devez, encore plus que les autres, vous faire surveiller médicalement au moins une fois par an et signaler vos antécédents familiaux à votre médecin traitant ou à votre gynécologue.

15% des femmes traitées pour un cancer du sein développeront un cancer sur l’autre sein. Si vous êtes dans cette situation, vous devez absolument bénéficier d’un suivi médical particulièrement attentif.

On a également constaté que le risque était plus élevé chez les femmes ayant eu à la fois des règles précoces et une ménopause tardive. Les femmes sans enfant ou ayant eu un premier enfant après 30 ans semblent de même un peu plus exposées au développement d’un cancer du sein. Ce sont des éléments que vous devez aussi prendre en considération.
N’oubliez pas d’en parler à votre médecin.

La pilule augmente-t-elle les risques ?

Une femme dont la mère ou la sœur a déjà eu un cancer du sein risque deux fois plus que les autres femmes de développer un cancer du sein. Si tel est votre cas, vous devez, encore plus que les autres, vous faire surveiller médicalement au moins une fois par an et signaler vos antécédents familiaux à votre médecin traitant ou à votre gynécologue.

15% des femmes traitées pour un cancer du sein développeront un cancer sur l’autre sein. Si vous êtes dans cette situation, vous devez absolument bénéficier d’un suivi médical particulièrement attentif.

On a également constaté que le risque était plus élevé chez les femmes ayant eu à la fois des règles précoces et une ménopause tardive. Les femmes sans enfant ou ayant eu un premier enfant après 30 ans semblent de même un peu plus exposées au développement d’un cancer du sein. Ce sont des éléments que vous devez aussi prendre en considération.
N’oubliez pas d’en parler à votre médecin.

Peut-on éviter la venue d'un cancer du sein ?

Une femme dont la mère ou la sœur a déjà eu un cancer du sein risque deux fois plus que les autres femmes de développer un cancer du sein. Si tel est votre cas, vous devez, encore plus que les autres, vous faire surveiller médicalement au moins une fois par an et signaler vos antécédents familiaux à votre médecin traitant ou à votre gynécologue.

15% des femmes traitées pour un cancer du sein développeront un cancer sur l’autre sein. Si vous êtes dans cette situation, vous devez absolument bénéficier d’un suivi médical particulièrement attentif.

On a également constaté que le risque était plus élevé chez les femmes ayant eu à la fois des règles précoces et une ménopause tardive. Les femmes sans enfant ou ayant eu un premier enfant après 30 ans semblent de même un peu plus exposées au développement d’un cancer du sein. Ce sont des éléments que vous devez aussi prendre en considération.
N’oubliez pas d’en parler à votre médecin.

A tout âge

Vous devez être régulièrement suivie par un médecin ou par un gynécologue qui n’hésitera pas à vous prescrire les examens nécessaires en cas de doute. Ce suivi médical doit avoir lieu tous les 6 mois ou tous les ans à partir de 30 ans. Vous devez pratiquer tous les mois une auto-palpation de vos seins.

À partir de 50 ans

Votre médecin ou votre gynécologue vous fera pratiquer une mammographie au maximum tous les 2 ans.
Aujourd’hui, le dépistage organisé est programmé à partir de 50 ans dans tous les départements du territoire français.

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